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03 février, 2021

LA MINORETTE

 



Compétition amicale au mois d'octobre dont 15 éditions se sont déroulées. Accessible à tout golfeur  licencié FFG quel que soit le niveau et inscrit sur le forum Coachingolf où se passent les inscriptions.

Compétition par équipes de deux joueurs (équipes appariées selon l'index des joueurs de façon à équilibrer les niveaux).

Formule : Greensome, règlement ici : https://www.blogger.com/blog/post/edit/19823724/5465491980585836164

Un pot est organisé ensuite avec les apports de tous.

Voici l'historique des vainqueurs de la Minorette depuis la première édition (pseudos du forum coachingolf)



02 janvier, 2015

Les accidents du golf

FAITES ATTENTION QUOI !!

16 décembre, 2014

Gagner de la longueur avec les fers



C'est ce que propose Brady Riggs pro à Van Nuys en Californie : simplement solidariser nettement le haut du bras gauche ( pour un droitier) et la poitrine à l'impact. Cette connexion permet une accélération du club.
 (Merci à Réa)


08 novembre, 2014

Le cerveau nous joue des tours

Lecture des fairways et des greens : le cerveau nous montre ce qu'il veut bien nous montrer attention !



FAITES UN TEST !

Comptez le nombre de 'F' dans le texte suivant :
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
FINISHED FILES ARE THE RESULT
OF YEARS OF SCIENTIFIC
STUDY COMBINED WITH THE
EXPERIENCE OF YEARS

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Résultats ICI





La réaction de Michel TEICHET En exclusivité de notre correspondant 


"En effet notre cerveau nous joue des tours notamment sur un golf aussi! D’ailleurs les architectes le savent tellement qu'ils jouent avec divers effets visuels pour nous piéger dans nos choix de clubs ainsi que dans les gestes à accomplir pour atteindre certains greens... La plupart du temps ce sont des manques dans le prélèvement d’informations sur le contexte qui nous font "rater". Il suffit que le golfeur se déplace un peu, et spécialement sur les greens, pour améliorer sensiblement ses performances .
Ce petit test, Minor, est surtout un piège sur l'attention dans lequel on peut facilement tomber... surtout si on va vite !"


17 octobre, 2009

REGLEMENT MINORETTE

La Minorette est une compétition amateur en Greensome par équipes de deux joueurs en stroke play brut.
1- Participation
Peuvent participer à la Minorette des joueurs amateurs licenciés membres du forum Coachingolf ainsi que les joueurs pro PGA (Avant 2010, la Minorette établissait un classement séparé pour les pros, soit « pro », soit « pro-am » en cas d’équipe mixte).: http://coachingolf.forumactif.com/forum.htm .
L’inscription se fait sur le forum par mp auprès de Minor Swing en fournissant le Nom, Prénom et numero de licence avant la date limite publiée sur le forum. Les droits d’inscription sont à régler à l’accueil du parcours le jour de la compétition (green fee négocié dont le montant est publié sur le forum).
L’inscription doit être validée par le Conseil de la Minorette qui peut exiger qu’un participant ait un index basé sur un nombre suffisant de compétitions.



 2- Greensome
Sur chaque trou les deux joueurs jouent un drive puis choisissent une des deux balles qui reste alors la seule en jeu. Le deuxième coup est joué par le joueur dont le drive n’a pas été choisi et les joueurs se relaient ainsi jusqu’au trou.
3- Ordre des joueurs
Au premier trou l’équipe qui comprend le plus bas index joue en premier. L’ordre des joueurs de l’équipe est à la convenance de celle-ci pour chaque trou même si le tee de départ diffère pour les deux joueurs (voir « Boules de départ »). Aux trous suivants l’honneur est à l’équipe qui a fait le meilleur score sur le trou précédent.
4- Boules de départ
Les joueurs dont l’index est inférieur ou égal à 15,4 partent des boules blanches (bleues pour les dames). Au dessus de 15,4 les joueurs partent des boules jaunes (rouges pour les dames). Au trou n° 8, tous les joueurs partent des boules blanches (bleues pour les dames).
Si une équipe comprend des joueurs partant de boules différentes, la facilité commande de commencer par les boules les plus reculées mais ce n’est pas une obligation. Si le choix de l’équipe est d’inverser les départs elle doit veiller à garantir la sécurité des joueurs sous peine de disqualification.
5- Cartes de score
La carte de score doit impérativement être marquée par un joueur de l’équipe adverse. Il note le nombre de coups joués sans compter le drive qui n’a pas été choisi. Il devra totaliser le nombre de coups joués sur les 9 premiers trous, puis les 9 suivants et enfin sur l’ensemble du parcours.
6- Composition de équipes
Les équipes sont composées par le Conseil de la Minorette de façon à harmoniser le niveau moyen des équipes. En cas de nombre impair de joueurs, le joueur qui a l’index médian joue seul et a la possibilité de jouer deux drives sur chaque trou de façon à choisir la balle en jeu pour la suite.
7- Règles et litiges
Les participants à la Minorette s’engagent à en accepter le règlement qui est établi par le conseil de la Minorette. L’arbitrage est assuré par le Directeur Général..
8- Gouvernance
Le Conseil de la Minorette est l’assemblée souveraine de l’organisation. Il élit à sa tête un directeur général.
Le Conseil est constitué de : Minor Swing, Directeur général de la Minorette.

13 mars, 2007

Le plan de swing

-1-OUI ! 



-2-NON!
 Les images, réalisées à partir de vidéos, relèvent les positions lors de la montée.



On distingue souvent le swing sur un plan du swing sur deux plans. Même sur un swing dit "sur un plan" la tête de club revient en principe sur un plan plus horizontal au downswing (descente) qu'au backswing (montée) comme on le voit sur l'image 1 (d'après le swing de Aaron Baddeley). Il arrive souvent que les moins bons joueurs fassent l'inverse, à cause d'une montée trop intérieure (le club part derrière) comme on le voit sur l'image 2. L'inconvénient est un retour extérieur qui provoque un trajet de la tête de club qui coupe la ligne de jeu en provenance de l'extérieur ce qui peut provoquer un slice (parfois une gratte ou un top) .


09 novembre, 2006

Mon forum de golf favori

                                                            https://coachingolf.forumactif.com/
C'est LE forum.Ce qu'il y a d'incroyable, c'est la communication sérieuse et pausée qu'il y règne : un exemple sur la planète web. Ici personne n'éprouve le besoin d'insulter, de provoquer...Les seuls désaccords politiques qui y règnent peuvent concerner le rôle des poignets à l'impact...

06 juillet, 2006

Putting : le grip inversé

                                           grip standard



                                            grip inversé



Les interrogations autour du putting sont permanentes chez les golfeurs de tous niveaux : matériel, posture, grip, lecture de green, mental... Il est vrai que beaucoup de points se perdent ou se gagnent dans ce secteur. Les champions surprennent parfois par leurs "innovations". J’aimerais parler du grip inversé dont l’intérêt est mal compris à moins qu’il ne s’agisse de la plus totale indifférence. Pourtant je crois qu’il peut rendre service et être essayé très facilement.


Ce grip n’est pas nouveau, de nombreux pros en sont des adeptes. On peut citer Bruce LIETZKE vainqueur de nombreux open dans les années 80 aux Etats-Unis (Bob Hope, Byron Nelson…), puis chez les seniors (US senior open en 2003). J’ai adopté ce grip en lisant un article de Padraig HARRINGTON dont le père lui a enseigné le principe dès le plus jeune âge. Gregory HAVRET et bien d’autres font des merveilles avec.

Dans le swing de golf, il y a des raisons bio-mécaniques qui justifient que la main gauche soit au dessus de la main droite (On parle ici dans le cas d’un droitier). Ceci est démontré depuis plus d’un siècle et les exceptions sont alors aventureuses. Pour le putting, rien ne justifie qu’il en soit ainsi. Il y a même grand avantage à inverser :
La main gauche en dessous assure un alignement solide de l’avant-bras et du dos de la main qui évite toute action du poignet à l’impact. Seuls les gros muscles agissent ce qui est nécessaire pour la régularité.
Mais surtout si la main droite est en bas (grip du swing), dès la traversée de la balle le mouvement de balancier fait remonter la tête de club à moins d’abaisser considérablement l’épaule droite comme on le voit sur la première photo. Cela ne se produirait pas si le bras droit du golfeur était plus long que le gauche. Il faut donc positionner la main droite en haut du club pour éviter d'abaisser l'épaule droite. Ceci permet de prolonger la partie du trajet de la tête du club où elle est au raz du sol afin d’accompagner la balle le long d’un rail imaginaire (seconde photo).

04 février, 2006

Comment s'aligner au golf : frappeur ou lanceur?

Positionner d'abord le pied droit ou gauche?
C'est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi ça veut dire beaucoup...

L’amateur se place…
La tendance des joueurs lambda (comme moi avant de lire mon blog) est de positionner solidement d’abord le pied gauche. A partir de ce point fixe la main gauche positionne la tête de club puis la droite vient ensuite se greffer. Résultat : un stance fermé par rapport à l’objectif une fois sur deux.
L’ordre de placement est ici :
1 Pied gauche
2 Main gauche
3 Main droite
4 Pied droit


Le pro se place…
Regardez bien à la TV, la plupart font ainsi : avec la main droite ils placent d’abord la face de club devant la balle de façon à viser précisément l’objectif. Le pied droit est le « point fixe », placé en correspondance avec le club et la main droite. Le pied gauche est un peu en retrait. C’est ensuite qu’il est ajusté. Puis vient la main gauche.
L’ordre est :
1 Main droite
2 Pied droit
3 Pied gauche
4 Main gauche


L’amateur veut frapper !
C’est naturel. A la fête foraine vous voulez battre le record de frappe sur le punching-ball qui mesure l’intensité du coup : vous positionnez le pied gauche devant et , en appui sur la jambe gauche vous envoyez votre droit des familles. Même chose avec un marteau pour enfoncer un clou : jambe gauche devant : essayez. Je me souviens que dans One million dollar baby Clint Eastwood disait : « si tu frappes du droit tu es sur la jambe gauche . Ensuite tu frappes du gauche, tu es sur la jambe droite ». Michel TEICHET pro de golf et ancien boxeur m’a confirmé ce point: voici son point de vue :
Jungolf :
- Un boxeur qui tire un direct du droit, il prend essentiellement appui sur sa jambe gauche, vrai ou faux?
Michel TEICHET :
- Si c'est un enchainement gauche droite OUI, si c'est retrait contre NON (là tout est à droite), le tranfert (ou appui) se fait avec l'inertiePositionner d’abord le pied gauche est la préparation de celui qui veut frapper.

Le pro veut lancer !Mimez le geste de celui qui lance un caillou au raz de l’eau pour faire des ricochets. Vous placez d’abord le pied droit. D’ailleurs, faites un arrêt sur image à l’armement : vous êtes sur la jambe arrière .
Positionner d’abord le pied droit est la préparation de celui qui veut lancer.

12 janvier, 2006

Tactique ou stratégie?

Je me suis aperçu, à l'occasion de discussions, que les golfeurs hésitent sur le comportement à adopter : offensif ou attentiste ? Attaquant ou prudent ? Instinctif ou réfléchi ?
D’où les déceptions :
« j’ai été trop ambitieux, j’ai joué petit-bras, j’ai trop attaqué , j’ai ralenti dans la traversée etc… ».
Et cela débouche souvent sur des questions sur l’attitude puis sur le mental qui sont peut-être mal posées.

De quoi parle-t-on ? A quel niveau dans le déroulement du jeu se pose la question de l’attitude ?
Le vocabulaire utilisé dans le jeu d’échecs, issu de principes militaires, distingue tactique et stratégie. La tactique concerne la puissance et l'efficacité du coup joué, la stratégie c'est du plus long terme, c'est le "plan de bataille" sur un trou (voire sur 18, voire sur 72...). Les capacités tactiques peuvent se voir au practice (distance, régularité, maîtrise des différents effets et trajectoires), les capacités stratégiques non.

Il y a bien-sûr interférence entre les deux : on ne peut envisager de prendre le green d'un par 5 en deux en passant au dessus des arbres d'un dog-leg (stratégie) que si l'on est sûr d'assurer le drive (tactique). Sinon il peut être très stratégique de décider de le prendre en régulation.Le "tempérament" du joueur peut intervenir sur l'une ou l'autre des deux dimensions mais de manière différente : on peut avoir une stratégie ambitieuse (trop?) et jouer le coup pausément (trop?) ou avoir une stratégie de père de famille (trop?) et jouer le coup avec un punch d'enfer (trop?). Les combinaisons sont infinies et c'est toute la richesse du golf.
Quoi qu’il en soit la capacité à adopter telle ou telle tactique relève de la techique du swing alors que la stratégie relève de la connaissance du jeu et du calcul rationnel sur la base d'une certaine capacité tactique.
Faut-il attaquer les coups selon un plan pausément réfléchi ou se fixer des objectifs ambitieux sur la base d'une technique calmement maîtrisée?
Tous les chemins sont bons s'ils vous permettent le mat!

29 décembre, 2005

Choisir un shaft (manche, tige...)

Graeme Mc Dowell à Pebble Beach. Photo Patrick MICHELETTI Fév 06
Pourquoi ?
Il peut casser.
Il vieillit : surtout s'il est en graphite, il perd de son répondant.
Le golfeur aussi vieillit, mais en même temps il progresse : deux bonnes raisons d'adapter son matériel.
On dit que le shaft c'est le moteur du club. C'est déterminant en effet. Ici quelques "trucs" rassemblés pour s'y retrouver dans les nombreux paramètres à considérer.
C'est à connaître également pour l'achat de matériel neuf. Les grandes marques de club achètent en sous-traitance aux fabricants de shafts et apposent leur nom sur les manches. Exemples : Grafalloy pour Titleist, Fujikura pour Cleveland, UST pour Sonartec ...
Le matériau : acier ou graphite? Aujourd'hui, pour les bois et hybrides, le graphite est généralisé: plus élastique, il gagne en distance et revient plus facilement sur la balle mais il est plus cher.
L'acier est plus durable et se contrôle mieux surtout pour les swings puissants c'est pourquoi, en majorité, les pros du Tour l'emploient pour les fers mais il épargne moins le physique, notamment les articulations.
La souplesse ("Flex") : Du plus flexible au plus rigide.
Flexible : confortable, revient facilement "square" sur la balle, la lève facilement .
Trop flexible : on perd de la distance et aussi du contrôle, risque de hook.
Rigide : tirs tendus, plus contrôlés donc précis pour les swings rapides.
Trop rigide : difficile de faire revenir le club square, risque de slice, dur à jouer.
Les choix :
L : Lady, le plus soft
A : Seniors, mais beaucoup de femmes le jouent et beaucoup d'hommes devraient l'adopter.
R : Regular, pour "Monsieur tout le monde".
S : Stiff (ou firm) pour les joueurs au swing très rapide.
XS : extra-stiff, niveau pro.
Voici la brillante analyse de André TRUCHOT alias Cedric que l'on peut croiser sur le forum de la ffg :
Lorsqu'on resoud l'équation différentielle permettant d'appréhender la dynamique du manche, on trouve des résultats très interessants:
Pour une vitesse et une amplitude de swing données, il existe une rigidité de manche et une seule permettant d'avoir le club dans sa position naturelle à l'impact.
Cette rigidité est fonction de la masse de la tête de club et de la vitesse de swing
Si le shaft est 10% moins rigide la tête est "en avance" de 3 à 4mm à l'impact et fait gagner de l'ordre de 2.5% sur la vitesse de swing (Gain de distance de l'ordre de 5 à 7m)
Si le shaft est 10% plus rigide, la tête est cette fois ci "en retard" de quelques mm et la perte sur la vitesse de swing est de l'ordre de 2.5% soit 5 à 7m de moins
L'ecart entre un manche bien adapté à un swing et un manche non adapté se situe entre 10 à 20m
L'adaptation du manche peut se faire donc en faisant varier la rigidité mais aussi la masse de la tête de club.
Des études montrent que les joueurs ont en général des shafts trop rigides par rapport à leur niveau. Ils y gagneraient en régularité et précision et aussi en distance à prendre plus souple mais il y a une question d'orgueil...(ce n'est pas parce qu'un bon joueur joue stiff qu'il est long, c'est parce qu'il est long qu'il joue stiff)
Le point de flexion.
C'est l'endroit précis du shaft où le fléchissement est maximum, là où, tel le roseau, il plie lors du swing. C'est un élément très important à prendre en compte.
Point de flexion haut (indiqué par le fabricant) : assure à la tête de club un chemin assez rectiligne, comme un long "rase-mottes" et une balle plutôt basse.
Point de flexion bas : La tête de club se relève beaucoup à l'impact : balle haute.
Des positions intermédiaires sont possibles : mid, mid-high, mid-low...
Attention : certains fabricants indiquent l'angle de lancement (Launch angle), dans ce cas c'est l'inverse : un point de flexion haut correspond à un Launch angle bas (low).
Un point haut est préféré des très bons joueurs (coups plus longs et mieux contrôlés) mais cela nécessite, au driver, un physique à la hauteur et c'est plus dur à jouer.
Le torque: Parfois confondu avec le précédent. La torsion, c'est la rotation sur lui même du shaft, selon un effet de vrille. Sur un graphite cela est lié à la nature et la qualité des fibres.
Faible, ça vrille peu : pas de déformation, bon contrôle, moins de souplesse aussi: pour les bons joueurs.
Elevé : moins de précision mais plus de confort et de douceur dans les poignets.
Chez la plupart des fabricants, ça va de 2 à 5
Le poids : Plus c'est léger, plus c'est confortable à jouer.
Le swingweight : C'est l'équilibre des poids sur tout le club : poids plutôt vers le grip (A1 A2...) ou plutôt en tête (E8, E9...)
Il dépend :
Des poids respectifs de la tête, du manche et du grip ainsi que de la longueur du shaft.
Ce qui est intéressant c'est d'avoir un swingweight homogène sur tous ses clubs. A faire vérifier car cela peut bouger et alors les sensations changent d'un club à l'autre: si vous dites des trucs genre "moi je gaze avec mon fer 6, mais 5 ou 7 c'est nul..." alors la cause est sûrement davantage là que dans le psychologique...
Tip , butt : Beaucoup moins fondamental. Tip : diamètre et éventuellement flexibilité en bas du shaft, butt : même chose, mais en haut, à l'endroit du grip.
Prix : Pour un fer ça commence à 30 euros, pour un driver, compter pour des très bons 120 à 200 euros (ou plus), montage compris.
L'idéal pour se faire une idée, c'est d'essayer. Les mesures ne sont pas parfaitement standardisées et ça peut varier d'une marque à l'autre. Le look peut intervenir aussi car comme le disait Christophe, le charme, ça fait vraiment tout...
Il n'y a plus, ensuite, qu'à soigner le plan de swing ( Go!)  Lien fabricants

28 décembre, 2005

Résultats du test

Réponses données :
3 : Erreur . Recomptez, ça vaut le coup ! RETOUR

6 : Vous avez un oeil de lynx ! Un réel avantage pour tout remarquer sur un green ce qui permet d'enregistrer toute l'information pertinente (pente générale, contre-pentes, gênes à la roule ...)

1 ou 2 : Il y a peut-être un problème optique à vérifier


4 ou 5 : Bizarre et assez rare, recomptez !

Plus de 6 : Vous vous mentez tellement à vous-même qu'il vaudrait mieux céder le volant de la voiture à autrui...


Que se passe-t-il? Le cerveau ne veut pas voir les "OF" et je n'y peux rien !
Pour ceux qui ont répondu 3 :
Le cerveau a enregistré qu'il y avait des 'F' à débusquer dans un texte donc à des endroits cachés à découvrir. Il exclut donc totalement que le 'F' soit à un endroit évident et facile, donné, comme le "OF", tellement banal qu'on doit le survoler.

19 décembre, 2005

Le swing de Mike Austin (2)










Pascal et Val ont écrit à Jungolf :

Alors comme ça y'a des fous furieux qui dépassent allégremment les 400m...pas posssible..! rassure moi...: c'est 400m, mais ça va dans les arbres à gauche ou à droite !!!?

Merci d'avoir réagi avec enthousiasme. Oui, ce record est incroyable. Il est vrai qu'Austin bénéficiait d'un vent favorable de 45km/h. Mais bon ça suffit pas à expliquer, car moi, un vent de 45Km/h, ça me fait pas ça. De plus à l'époque c'était pas du titanium au bout du shaft (en acier).

Les "M.A. addict" (ça existe) insistent sur le coup droit et régulier que permet ce swing, donc pas d'arbres à gauche ou à droite. Bien sûr ça paraît gros : loin et droit. Ils expliquent ça par le swing sur un seul plan et un travail adéquat des poignets.

Je crois qu'on en est au début de la déferlante Austin. On peut glâner des infos sur :
http://coachingolf.forumactif.com

ou alors, en anglais dans le texte :
http://www.mikeaustingolf.com/phpBB2/index.php

A bientôt !

Minor au paradis

Voyez plutôt! Sous prétexte que j'ai parlé du 10ème trou du Val-André et de L'enfer du golf, un ami du club du Plessis, André, n'y est pas allé de main morte pour m'envoyer direct au paradis.
Sympa, le copain!...

16 décembre, 2005

Jouer au golf au PLESSIS-ROBINSON


- Tu te fiches de nous? J'ai tous les annuaires des golfs et y'a pas de golf au Plessis-Robinson.
- Oui oui... Mais il y a un club de golf.
- Sans golf y'a rien d'un club de golf!
-Si, si, y'a TOUT d'un club de golf
- Quoi par exemple?
- Un président, un bureau, une AG annuelle, une ambiance, des compétitions, des remises des prix, des cours, des entraînements (débutants, compétition...), des bouffes, des animations pour les scolaires, des courriers, et un site :
- Des cours? des compètes?
- Des cours avec SAM samlc@hotmail.fr , un ancien pro du challenge tour. Le golf d'accueil? Marivaux http://www.golfmarivaux.com/: splendide! Des compètes dans tous les golfs de l'Ile de France. Tu veux une preuve? Vise une peu ça :
Pour tout contact vous pouvez me demander des renseignements en cliquant sur COMMENTS ci-dessous

15 décembre, 2005

L'enfer du golf


Ceci est une histoire réelle qui vient de l’au-delà. Jean est décédé il y a quelque temps. Golfeur impénitent et amateur laborieux (index 18), lors du jugement dernier, la sentence fut sans appel : l’enfer. Sa passion dévorante pour le golf en fut le motif : trop souvent ce sport avait prévalu sur l’attention portée à son prochain et sa famille avait souffert de cette vie qui partait à la dérive. La sévérité du jugement fut tempérée, du moins le croyait-il, par le fait qu’il eut droit à l’enfer des golfeurs.
L’enfer des golfeurs pour lui, c'était un paradis: une étendue verte sans fin, bordée d’une mer d’azur, sous un soleil d’été. Des tas de golfeurs sympas et golfeuses pulpeuses au sourire radieux qui manient le wedge en toute décontraction... Ce qui attira sa curiosité, ce fut le coin des célébrités : imaginez François Mitterrand essayant de sortir d’un bunker, conseillé par les compères Dwight Eisenhower et John Fitzgerald Kennedy (de loin le meilleur des trois). Le must c’était le petit practice réservé aux approches, car Jean a toujours consacré beaucoup de temps et d’attention au petit jeu et ici se concentraient les légendes : à côté des gigantesques bacs de pro V1 où l’on puisait à volonté, on y voyait l’ange Bobby Jones déployer son swing superbe. C’est là que Payne Stewart, avec ses habits de lumière apprit à Jean à produire un backspin d’enfer (si on peut dire).
Tous les jours, il y avait un concours d’approches ou de putting suivi d’une bringue arrosée du meilleur whisky de St-Andrew (50 ans d’âge). Une fois il fit équipe avec Walter Hagen dans un concours mémorable de chips contre Arnaud Massy et la jeune Simone Thion de la Chaume ce qui fut l’occasion de parler français.Chaque matinée, s’il le voulait, il prenait un cours avec le pro qu’il avait choisi, un certain Ben Hogan. Jean acquit un petit jeu qu’il n’aurait même pas pu entrevoir en rêve de son vivant. Il se demandait seulement s’il y aurait des compétitions normales, sur le parcours, car il lui semblait qu’il avait désormais un petit jeu suffisant. Il s’en ouvrit une fois à son pote Payne Stewart qui, pour toute réponse baissa les yeux, alors il n’aborda plus le sujet.



La vie, pardon la mort, s'écoulait lentement à coups de fers 9 et de sand-wedges (une fois Jean emprunta même le premier sand-wedge de l'histoire à Gene Sarazen, quelle émotion! ) . Mais, jamais, jamais de grand jeu...
Il avait bien repéré un vieil homme, arrivé il y a plus de 15 ans et au comportement bizarre : il était triste et s’isolait souvent. Jean alla le trouver. Pour lui remonter le moral il lui parlait du golf à perpétuité que l’on jouait ici. Il se risqua à lui dire :

- La seule chose un peu bête ici, c’est qu’on fait jamais de drives. Je me demande bien pourquoi.
Alors Mike Austin le fixa d’un regard glacial et lui lança:
- Mais mon garçon… C'EST L'ENFER ICI !!!
-Minor Swing©2005-

14 décembre, 2005

Mes golfs favoris


-1 Pleneuf Val-André (22) avec le trou 10 qui surplombe la mer: un must!Assez difficile car les roughs sont impitoyables. Pas étonnant qu'on y joue des championnats de France pro ou des épreuves du Challenge Tour (sans moi...)
-2 Saint-Jean-de-Monts (85) C'est un peu chez moi. Egalement un links qui, à l'aller, s'égare dans la forêt de pins (les balles aussi) et qui, au retour, visite les dunes et la plage (les balles aussi).Pas facile à scorer!
-3 Saint-Marc (78) Etonnant : sur le plateau de Saclay, on découvre une vallée incrustée digne du Lot et Garonne! Plutôt facile à l'aller, au retour c'est une autre histoire. Un golf plein de talent (site historique de la Minorette).

13 décembre, 2005

Le swing de Mike Austin (1)




Mike AUSTIN est un golfeur américain décédé en 2005 à un âge avancé, qui est connu du Guinness book pour détenir le record absolu de distance au drive (471m) et ceci lors d'un tournoi officiel du Senior Tour, en 1974 à Las Vegas, à l'âge de 64 ans.
Je l'ai connu grâce à Patrick ( http://www.golfrevelation.com/ ) qui a "francisé" son DVD, pas pour faire un coup commercial (dit-il) mais parce que c'est un fan.
Ce DVD est un trésor. Non parce qu'il est censé livrer des secrets sur le joueur le plus long de l'histoire encore qu'on peut être indulgent envers le golfeur lambda qui commet le pêché mignon de chercher la distance. Mais surtout, il est très pédagogique et permet de comprendre un swing dans son intégralité.
Il n'y a rien d'ésotérique dans ce swing : il est plutôt assez classique. Basé sur un pivot très affirmé, il attribue un rôle premier au bas du corps et valorise le lancer (par opposition au frapper) avec un fouetté de la main droite qui donne toute la puissance au coup. Le désarmement des poignets se fait très tôt : il n'y a pas de retard du club comme on l'enseigne souvent et la tête de club arrive à l'heure sur la balle, je vous le garantis...

Il ne s'agit donc pas d'une n.ième méthode mais d'un swing possible.

Le swing de Mike Austin (suite)


Bienvenue sur mon blog.


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03 février, 2005

L'enfer du golf

Ceci est une histoire réelle qui vient de l’au-delà. Jean est décédé il y a quelque temps. Golfeur impénitent et amateur laborieux (index 18), lors du jugement dernier, la sentence fut sans appel : l’enfer. Sa passion dévorante pour le golf en fut le motif : trop souvent ce sport avait prévalu sur l’attention portée à son prochain et sa famille avait souffert de cette vie qui partait à la dérive. La sévérité du jugement fut tempérée, du moins le croyait-il, par le fait qu’il eut droit à l’enfer des golfeurs. L’enfer des golfeurs pour lui, ce fut un paradis. Une étendue verte sans fin, bordée d’une mer d’azur, sous un soleil d’été. Des tas de golfeurs sympas et golfeuses pulpeuses au sourire radieux qui manient le wedge en toute décontraction. Ce qui attira sa curiosité, ce fut le coin des célébrités : imaginez François Mitterrand essayant de sortir d’un bunker, conseillé par les compères Dwight Eisenhower et John Fitzgerald Kennedy (de loin le meilleur des trois) Le must c’était le petit practice réservé aux approches, car Jean a toujours consacré beaucoup de temps et d’attention au petit jeu et ici se concentraient les légendes : à côté des gigantesques bacs de pro V1 où l’on puisait à volonté, on y voyait l’ange Bobby Jones déployer un swing superbe. C’est là que Payne Stewart, avec ses habits de lumière apprit à Jean à produire un backspin d’enfer (si on peut dire). Tous les jours, il y avait un concours d’approches ou de putting suivi d’une bringue arrosée du meilleur whisky de St-Andrew (50 ans d’âge). Une fois il fit équipe avec Walter Hagen dans un concours mémorable de chips contre Arnaud Massy et la jeune Simone Thion de la Chaume ce qui fut l’occasion de parler français. Chaque matinée, s’il le voulait, il prenait un cours avec le pro qu’il avait choisi, un certain Ben Hogan. Jean acquit un petit jeu qu’il n’aurait même pas pu entrevoir en rêve de son vivant. Il se demandait seulement s’il y aurait des compétitions normales, sur le parcours, car il lui semblait qu’il avait désormais un petit jeu suffisant. Il s’en ouvrit une fois à son pote Payne Stewart qui baissa les yeux, alors il n’aborda plus le sujet.
La vie, pardon la mort, s'écoula lentement à coups de fers 9 et de sand-wedges (une fois Jean emprunta même le premier sand-wedge de l'histoire à Gene Sarazen, quelle émotion! )
Mais, jamais, jamais de grand jeu. Il avait bien repéré un vieil homme, arrivé récemment et au comportement bizarre : il était triste et s’isolait souvent. Jean alla le trouver. Pour lui remonter le moral il lui parlait du golf à perpétuité que l’on jouait ici. Il se risqua à lui dire : - La seule chose un peu bête ici, c’est qu’on fait jamais de drives. Je me demande bien pourquoi… Alors Mike Austin le fixa d’un regard glacial et lui lança: - Mais mon garçon… c'est l'enfer ici!!!